Chaque année, l’équipe pédagogique de technologie du collège Goscinny (90300) produit pour le ministère de l’Education Nationale une séance pédagogique innovante. Cette année, la thématique retenue est : « Véhicules intelligents, Innovation et connectivité » Cette recherche en ingénierie pédagogique est filmée puis diffusée sur le site national EDUSCOL STI. Grace à un partenariat avec le groupe BMW i , des équipes d’élèves, embarquées dans des véhicules connectés utilisant des sources d’énergies différentes, ont envoyé à distance les données énergétiques en classe lesquelles ont été analysées par les autres équipes. Cette séance a été rendue possible grâce à la mise à disposition par BMW i France de 4 véhicules connectés (hybrides, électrique et thermique) . (BMW I3, BMW 530 E iperformance, BMW X1, BMW I3 REX). Au cours de cette journée du 25 mai 2018, 28 élèves de sixième ont pu :
Et apprendre bien d’autres choses encore tant la somme des compétences développées a été importante.
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Archives de catégorie : UN ETABLISSEMENT, UNE ACTION
Centre de maintenance du tramway de Besançon
Le vendredi 23 janvier 2015, les classes de première STI2D du lycée Jacques Duhamel ont été conviées à visiter le centre de maintenance du tramway de Besançon.
Inauguré en août 2014, le tramway de Besançon est géré par le centre de maintenance d’où les 19 rames partent le matin à 4h30 pour revenir à 1h30 le lendemain. Ce bâtiment de 6500m² répond à des normes thermiques notamment au niveau de l’isolation, ce qui en fait un bâtiment de basse consommation (BBC). À l’extérieur du bâtiment, une aire de remisage permet d’accueillir 20 rames sur 4 voies pendant la nuit. Un bassin de rétention récupère les eaux de pluie.
Le centre de maintenance assure cinq fonctions :
– La maintenance du matériel roulant, composée de 6 voies et s’étendant sur 4600 m², permet d’effectuer des opérations telles que la carrosserie, la peinture ou le profilage des roues.
– Les locaux d’exploitation, d’une surface de 250m², est l’endroit où les conducteurs prennent leur service
– L’atelier des installations fixes, d’une surface de 500m² permet l’entretien de la voie ferrée et de la signalisation
– La station service qui s’étend sur 750m² assure le lavage des rames et le remplissage des sablières
– Les locaux techniques, comme les bureaux, les vestiaires ou les ateliers (750m²)
Pendant la visite, Pascal Gudefin, le directeur de projet du tramway, a invité les visiteurs à s’installer dans l’une des rames de tramway, pour leur fournir de plus amples informations à leur sujet. Les rames sont longues de 24m, hautes de 3,6m et larges de 2,4m. Elles sont composées de 3 modules et pèsent, à vide, 29t. Les rames sont bidirectionnelles, c’est-à-dire qu’elles sont dotées de 2 cabines de conduites qui leur permettent de se déplacer dans un sens comme dans l’autre. La vitesse moyenne du tramway est de 20km/h même si il a la capacité de rouler à une vitesse maximale de 70km/h. On compte 132 places par rame et les élèves ont pu apprécier leur confort.
À ce jour, le tramway dessert 31 stations réparties sur 2 lignes. Des parc-relais, au nombre de 5 et totalisant 1000 places, permettent aux usagers de garer leur véhicule à proximité de ces stations.
Les élèves sont sortis du centre après une visite très instructive d’environ deux heures, ayant appris beaucoup d’informations intéressantes qui leurs seront utiles durant leur formation de STI2D2, et en étant conscients du cursus à envisager pour pouvoir dans le futur travailler dans un centre de maintenance comme celui-ci.
Documents de travail des élèves : LE_TRAMWAY_DE_BESANCON
http://www.letram-grandbesancon.fr/le-centre-de-maintenance-du-tram.html
Projet GREEN BUILDING – Le Lycée Pierre-Adrien PARIS aux Etats-Unis
Dans le cadre d’une coopération éducative entre l’académie de Besançon et Charlottesville CitySchools (Virginie,USA), le lycée Pierre Adrien Pâris a été retenu pour son projet « Design a Green Building ». L’axe moteur du projet consiste en une comparaison des normes en vigueur aux États –Unis (LEED standard) et en France (RT 2012) à partir de la conception d’une maison individuelle. L’idée principale est la réduction de notre impact énergétique. Ce travail s’est conclu par un voyage professionnel et culturel à Charlottesville du 5 au 18 mars 2014.
À travers ce projet les 12 élèves de STI2D A.C ont pu échanger et comparer avec leurs homologues américains sur les pratiques constructives. Un travail préparatoire a été mené lors de l’enseignement en ETLV1. L’intégration de ce projet dans l’enseignement de spécialité Architecture et Construction leur a permis aussi de présenter une étude thermique du pavillon aux américains et montrer l’impact énergétique sur leur choix de conception.
Parallèlement neuf élèves de BTS 2ème année ont participé à un programme d’immersion en contexte professionnel. Ils ont apporté leurs compétences techniques sur un chantier solidaire qui permet à des familles modestes d’accéder à la propriété.
Par la suite, le séjour s’est poursuivi à Washington DC et New York où le groupe a pu admirer les prouesses techniques et architecturales des bâtiments.
Le partenariat avec le CATEC (Charlottesville Albermale Technical Center) continue en 2015 avec un nouveau projet centré sur l’utilisation du numérique au cœur du bâtiment. La ligne directrice étant l’échange d’informations techniques associées à la construction à travers un fichier commun. Cela se traduit par le concept BIM (Building Information Modelling).
L’aventure internationale ne fait que commencer en STI2D AC… à suivre donc.
Vous pouvez consulter le diaporama présenté à Madame la Consul de Etat-Unis le 28 janvier 2015 au Lycée Pierre-Adrien PARIS.
Les Sciences de l’Ingénieur au Féminin – 2ème édition
Le 20 novembre 2014, au lycée Jules HAAG,
les Sciences de l’Ingénieur se sont conjuguées au féminin
Sous le Haut Patronage de Ministère de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, « Elles bougent » et l’UPSTI (Union des Professeurs de Sciences et Techniques Industrielle) organisaient, le jeudi 20 novembre 2014, la 2ème édition des Sciences de l’Ingénieur au féminin.
Objectif : sensibiliser les jeunes filles ; collégiennes et lycéennes, aux intérêts des métiers et carrières scientifiques et techniques
En tout, ce sont près de 10 000 jeunes filles sensibilisées, 110 collèges et lycées participants et 500 intervenantes ingénieures, techniciennes et élèves ingénieures qui ont participé à cette journée
Pour cette journée nationale de sensibilisation, 4 objectifs majeurs étaient poursuivis :
- Susciter des vocations auprès des jeunes filles pour les carrières scientifiques et techniques ;
- Transmettre la passion des métiers de l’ingénierie aux lycéennes et aux collégiennes ;
- Supprimer l’autocensure des jeunes filles à s’engager dans les filières scientifiques et techniques ;
- Permettre aux jeunes filles de s’identifier.
Le lycée Jules HAAG, soutenu par l’association « Ingénieurs et Scientifiques de France – Région Franche-Comté », avait choisi de permettre à toutes les jeunes filles scolarisées dans ses classes de seconde de participer à cette manifestation. Ce sont jointes à elles des élèves de 3ème du collège DIDEROT et du collège PROUDHON. Ce sont ainsi plus de 200 jeunes filles qui ont été réparties en 2 groupes, le même programme étant répété le matin et l’après-midi.
Au total, ce sont 14 marraines, venues du monde de l’industrie ainsi que du monde de la recherche, âgées de 28 à 70 ans ainsi que 20 élèves ingénieures (CPGE Jules HAAG, ENSMM ou ENSAM de Cluny) qui se sont présentées aux jeunes filles : chef de projet, doctorante, ingénieure énergies renouvelables, directrice des études à l’IUT, Ingénieure en charge des sites et sols pollués, créatrices d’entreprise, maître de conférence, ingénieure Qualité Hygiène Sécurité Environnement, chargée d’affaires, …
Parmi les propos tenus lors de cette journée, nous pouvons retenir :
- « L’envie de savoir, de comprendre, de tester : la curiosité est au cœur de ma thèse »
- « L’enseignement, c’est ma volonté de former et d’éveiller les étudiants, de transmettre des savoirs »
- « Partant d’une idée brute avec une infinité de solutions, la démarche ingénieur et ingénieuse permet d’arriver à un produit aux spécifications et aux design bien définis »
- « J’aime communiquer ma passion pour les sciences et la technique »
- « J’essaye de partager avec mes étudiants ma passion pour les méthodes de fabrication, d’organisation et de gestion dans l’industrie mécanique »
- « Partager une vision optimiste et moderne de la fonction d’ingénieur, sur l’intégration de la population féminine dans ces postes et sur l’opportunité que représente l’industrie en terme de métiers »
- « J’ai exercé ce métier avec passion et grand plaisir »
- « J’ai toujours aimé démonter tout ce qui m’entourait … avec des issues incertaines. Maintenant je comprends comment ça marche, de l’atome à la structure »
- « Passionnée par la transversalité de mon métier et les échanges associés »
- « Ma curiosité pour les sciences et techniques conjuguée à mon intérêt pour la musique m’ont incitée à me spécialiser dans l’ingénierie acoustique et l’étude des vibrations »
- « Je suis motivée par le travail en équipe sur des sujets techniques. Les femmes ont un regard différent des hommes et peuvent apporter beaucoup dans le travail »
- «Comprendre un jour à quoi servent les sciences dures, comprendre comment on invente ce qui nous entoure : c’est ce qui m’a motivé et c’est ce que je souhaite maintenant transmettre »
- « Ne plus entendre : sachant que vous êtes une fille, vous êtes trop bonne élève pour aller dans l’enseignement technique »
Mme Dominique CHATTE, IA-IPR, chargée de mission académique Egalité filles-garçons, M. José CANIVET IA-IPR STI, Mme Catherine PISTOLET, Adjointe à la déléguée régionale aux Droits des Femmes et à l’Egalité (DRDFE) et Mme MAIRE-LINAC de la Délégation académique à la formation professionnelle initiale et continue (DAFPIC) se sont joints aux organisateurs du lycée Jules HAAG pour accueillir les jeunes filles et remercier les intervenantes d’avoir pris du temps pour communiquer à propos de leurs formations et de leurs expériences.
En conclusion, il est apparu que le métier d’ingénieur(e) offre une grande diversité de possibilités en fonction de sa personnalité ou de ses envies aux différents moments de la vie (grande diversité de métiers pour travailler dans des domaines d’activité très variés). Il offre un statut de cadre d’entreprise avec des perspectives de mobilités professionnelles et géographiques mais permet aussi de concilier vie professionnelle et vie familiale. Enfin, il est important de rappeler que les métiers de l’industrie offrent de nombreux débouchés. Ainsi, 95% des diplômés en 2013 ont un emploi, dont les 2/3 avant la fin de leur cursus d’ingénieur.
Programme de la journée
08h30 Accueil des intervenantes
09h00 Accueil du 1er groupe de lycéennes et de collégiennes
- Visualisation du film “Pourquoi les Sciences de l’Ingénieur répondent aux grands enjeux de demain” réalisé par l’UPSTI
- Présentation des intervenantes ingénieures et étudiantes
09h45 Début des tables rondes regroupant une ingénieure, une étudiante et environ une dizaine de jeunes filles (9h45/10h15 – 10h20/10h50 – 10h55/11h25)
11h30 Bilan de la demi-journée sous forme d’idées emblématiques rapportées par les étudiantes (séance plénière)
12h00 Pot de clôture et échanges conviviaux
12h30 Repas offert par le lycée Jules HAAG à toutes les intervenantes
14h00 Accueil du 2ème groupe de lycéennes et de collégiennes
- Visualisation du film “Pourquoi les Sciences de l’Ingénieur répondent aux grands enjeux de demain” réalisé par l’UPSTI
- Présentation des intervenantes ingénieures et étudiantes
14h45 Début des tables rondes regroupant une ingénieure, une étudiante et environ une dizaine de jeunes filles (14h45/15h15 – 15h20/15h50 – 15h55/16h25)
16h30 Bilan de la demi-journée sous forme d’idées emblématiques rapportées par les étudiantes (séance plénière)
17h00 Pot de clôture et échanges conviviaux
Voyage humanitaire au Maroc
Les élèves de la terminale Sciences et Technologies de l’industrie et du Développement Durable (STI2D) du lycée Victor Hugo se sont mobilisés autour d’un projet de solidarité internationale : « Contribuer à l’amélioration du mode de vie et du quotidien d’une école rurale située dans la chaine Anti-Atlas au Maroc ».
L’absence d’un point d’eau dans une école de campagne est un facteur handicapant pour le confort, l’hygiène et la santé des petits écoliers. Boire, se laver les mains, disposer de sanitaires : autant de conditions qui, bien que vitales, ne peuvent être assurées dans cet établissement. Les enfants, principalement les filles, ont donc beaucoup moins de chances de bénéficier d’une scolarité d’une scolarité correcte et complète.
Le projet consistait à creuser un réservoir souterrain (30 m3) et à construire un bloc sanitaire (toilettes et fontaine d’eau) surmonté d’un château d’eau et relié à une fosse septique.
Les élèves ont dû dimensionner les installations, prévoir le raccordement électrique, identifier et choisir les dispositifs de protection, établir les schémas de l’installation et commander le matériel.
Au mois de novembre, les élèves ont effectué le voyage au Maroc afin d’évaluer sur place la réalisation du projet et le finaliser (installation d’une pompe à eau avec son tableau électrique).
Les aides financières ont été apportées par le Conseil Régional de Franche-Comté, la ville de Besançon, l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Les élèves se sont également impliqués dans des actions ponctuelles de recherche de financement.
Dans le cadre du voyage, les élèves ont visité une centrale thermo-solaire pilote de la cimenterie d’Aït-Baha.
Le rayonnement solaire est concentré pour chauffer l’air dans des tubes en béton.
L’air passe dans un puits rempli de pierre locale qui accumulera l’énergie calorifique et il alimente la centrale thermique productrice d’électricité. L’énergie stockée dans le puit sera récupérée la nuit pour maintenir l’alimentation de la centrale thermique.
Les principes de production et de stockage de l’énergie ainsi que les procédés de fabrications (engrenage en béton) ont fait l’objet d’une présentation par les ingénieurs locaux.
Partenariat école/entreprise dans le cadre des projets en STI2D
Mis en place depuis plusieurs années le partenariat entre l’établissement du Pré Saint Sauveur de Saint Claude et des entreprises locales, dans le cadre des projets en STI2D, permet aux élèves et aux équipes pédagogiques une ouverture aux réalités industrielles et économiques, des opportunités de rencontres et d’échanges avec des professionnels une transversalité des enseignements et une (re)connaissance des contenus de formation et de nos filières auprès d’un large public.
Pour cette année scolaire c’est un partenariat avec le tout nouvel « Espace des Mondes Polaires » de la commune de Prémanon (communauté de communes des Rousses) qui est en cours de construction.
Diaporama de présentation de l’Espace des Mondes Polaires
Cet ouvrage a retenu notre attention pour plusieurs raisons : une collègue d’histoire/géographie est chargée de mission éducative sur cet espace, la proximité du lieu facilite les déplacements et le cabinet d’architecture qui a emporté le concours est jurassien.
Le projet d’envergure européenne, bâtiment HQE-BBC, accueillera le musée Paul Emile Victor, un espace restauration, une patinoire, un auditorium, une salle polyvalente et un espace pour les scolaires, il offre donc un potentiel important en termes de supports de projets pour nos élèves de STI2D.
Pour l’année scolaire en cours l’équipe pédagogique travaille sur la thématique « paysage et urbanisme » en proposant un éco quartier autour de l’Espace des Mondes Polaires. Plusieurs rencontres ont déjà été programmées avec le cabinet d’architecture (pour une présentation du projet), avec le directeur de l’Espace des Mondes Polaires (pour identifier le contenu des projets proposés aux élèves), avec le Maire de la commune de Prémanon et le CAUE du Jura (qui accompagneront les élèves dans le projet) ainsi qu’avec les chargés de missions du Parc Naturel Régional du Haut-Jura puisque le projet sera présenté à l’occasion d’un concours initié par le PNRHJ.
L’accueil que nous ont réservé ces différents acteurs professionnels est à souligner plus particulièrement, beaucoup découvrent au travers de nos échanges les contenus de cette formation, dont ils ignoraient souvent l’existence, et nous réservent à ce titre attention et soutien en ouvrant les portes de leurs entreprises et en partageant leur expérience auprès des élèves.
Coté pédagogique une approche pluridisciplinaire est engagée : histoire/géographie, enseignement transversal et de spécialités (AC et EE), arts plastiques.
à suivre …
Projet collaboratif en 3° : utilisation de l’imprimante 3D
Nous proposons aux élèves de 3° répartis en équipe de 4 à 6 de réaliser un robot type HEXBUGS à partir d’un vibreur de téléphone portable.
Au sein de l’équipe, les élèves ont 2 taches distinctes : la conception du corps du robot et un compte rendu numérique (projet expérimentation tablettes).
Conception et réalisation du robot :
Dans un premier temps, les élèves mesurent les pièces réelles (pied à coulisse….) et compare leurs résultats avec les mesures sur les modèles numériques. Ils simulent le fonctionnement électrique du système (outil de simulation électronique).
Dans un deuxième temps, ils conçoivent individuellement un module du robot (bloc vibreur, bloc interrupteur, bloc pile et le bloc support avec les pattes).
Dans un troisième temps, ils assemblent leurs modules et valident leur solution.
Afin d’imprimer l’ensemble des modules en une pièce, l’assemblage est enregistré sous le format pièce (cocher tous les composants) puis exporter au format STL pour l’impression.
Le corps avec les pattes est conçu dans solidworks puis usiné au charlyrobot.
Contact : Equipe de technologie, collège de Valdoie.
COUVERT DE RECUPERATION D’EAU DE PLUIE EN ESTIVE
Lorsque Franck LONCHAMPT, professeur de construction au Lycée du Bois de Mouchard, a répondu au concours du Parc Naturel Régional du Haut Jura, il n’imaginait pas emmener l’établissement dans une aventure longue de plusieurs années.
En effet, le lycée a répondu en 2012 au concours lancé par le P.N.R. dans la catégorie “Couvert de récupération d’eau de pluie en estive”. Le lauréat de ce concours en a été Alexis DUPONT étudiant de BTS Charpente-Couverture qui a convaincu non seulement sur le projet technique mais aussi sur la recherche architecturale menée avec son professeur Jacques BERTRAND.
Plusieurs communes ont été séduites par ce projet et deux ont décidé de construire un couvert dans les alpages, la commune des Longevilles Mont d’Or et la commune de Remoray.
En lien avec la commune des Longevilles, maitre d’ouvrage, le lycée a accepté la mission d’ingénierie et la fabrication des éléments porteurs en bois local de la structure. Le dossier technique a été réalisé par les classes de BTS. À la rentrée 2014 la réalisation des poutres en bois lamellé collé a mobilisé toutes les classes de bac pro et de BTS.
D’autres compétences ont été nécessaires pour calibrer les arcs sur le centre d’usinage 5 axes, Nicolas AUBRY et les élèves de BTS DRB. Enfin une équipe de pose constituée d’élèves de BTS SCBH sous les ordres de Gille LE MOIGNE s’est rendue sur le chantier en novembre pour assembler la structure.
Un deuxième couvert est en fabrication dans une entreprise à partir des plans établis par l’établissement.
C’est le dossier de synthèse de l’affaire qui a été mis en page par Franck LONCHAMPT que vous pouvez consulter et qui comprend les éléments suivants :
- La genèse du projet
- La notice de calcul
- Le dossier d’exécution d’ouvrage
- Un album photos (à compléter)
Un établissement, une action – Mars, Avril 2014
Relation BTS Systémes électroniques entre le lycée Victor Hugo de Besançon et l’entreprise EuroCEM
EUROCEM est un laboratoire d’essais CEM et radio. Il offre la possibilité de réaliser les essais CEM complets sur des équipements électroniques mais aussi sur des véhicules pour l’homologation selon les directives européennes, notamment le marquage CE et pour les cahiers des charges les plus spécifiques.
Lire la suite : http://ts2i.ac-besancon.fr/?p=1172
Le lycée Cournot de Gray à l’honneur dans le cadre du projet de spécialité en STI2D. Une belle réussite pour donner envie aux élèves de collège, de seconde ou de première STI2D.
Lire l’article : Le lycée Cournot de Gray
De l’innovation au collège avec ce ballon stratosphérique qui doit prendre son envol début mai. De belles images en perspective. Classe de 3 ème du collège de Pouilley les Vignes
Le concept :
Depuis 1992, le CNES et Planète Sciences organisent, durant l’année scolaire l’opération « Un ballon pour l’école ». Sur plus de deux cents candidatures, seulement 63 projets en 2014 ont étés retenus afin d’être soutenu par le CNES et permettre aux établissements de participer à l’opération « un ballon pour l’école » Le collège de Pouilley les vignes fait partie des établissements sélectionnés afin de mettre en oeuvre ce projet à forte connotation scientifique.
L’opération consiste à mettre à disposition des ballons sondes pour que les élèves puissent concevoir et réaliser des nacelles expérimentales qui seront embarquées sous ces ballons. Les nacelles expérimentales, prétexte à l’initiation aux sciences et aux techniques, est le fruit du travail des jeunes, encadrés par monsieur BRILLANT, enseignants de technologie. L’opération a pour but de favoriser la réalisation de projets ayant un caractère scientifique et technique marqué, avec un souci de qualité et de sécurité. Ce travail est suivi par le pavillon des Sciences de Montbéliard qui met à disposition un animateur scientifique ayant la charge de suivre le projet et de vérifier la conformité de la nacelle par rapport au cahier des charges imposé par le CNES. Le suivi des projets et le matériel de lâcher (chaîne de vol et hélium) sont financés par le CNES. La fabrication de la nacelle et les expériences embarquées sont prises en charge par l’établissement scolaire.
Lire la suite : projet ballon stratosphérique
Accéder au blog du projet : http://ballonsonde36.over-blog.com/2014/03/la-prise-de-photo.html
Site du CNES – Un ballon pour l’école : http://www.cnes.fr/web/CNES-fr/8449-projets-ballons-avec-le-cnes-en-college.php
Ma clé USB ? Une mini entreprise au collège Maryse Bastié de Dole .
Un établissement, une action – Janvier, Février 2014
La création d’entreprise, un acte pédagogique, une vraie démarche de projet :
C’est au lycée Du Bois, à Mouchard.
Bon nombre d’entreprises créées le sont par des personnes n’ayant en poche qu’un diplôme de niveau V ou IV. Il s’agit dans la plupart des cas de micro-entreprises mais cela pose la question suivante : en quoi l’augmentation du niveau d’études n’engage pas davantage à la création d’entreprise ?
La réponse est comme souvent tout sauf simpliste. Un des freins est l’appréhension face aux risques et aux enjeux dès lors que l’entreprise visée suppose des investissements relativement importants. Un autre frein réside aussi dans la perte de spontanéité et l’abandon de ses ambitions au profit d’un emploi salarié plus sûr, accessible plus facilement avec un diplôme de niveau III et plus.
Entrepreneuriat au lycée du Bois de Mouchard